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il y a 8 ans
Mer Rouge une invitation au libertinage
Auteur : Fantasio
L’histoire que je vais vous raconter remonte à une vingtaine d’années. Un an plus tôt, j’avais épousé Ruby, la mère de nos deux e n f a n t s de deux et quatre ans à l’époque. Elle avait vingt-cinq ans, j’en avais dix de plus. Notre vie de couple était tout ce qu’il y a de plus normale – « vanilla sex » comme diraient les anglo-saxons – et ni elle ni moi ne ressentions le désir d’y changer quoi que ce soit. Jusqu’à ces fameuses vacances où, pour la première fois depuis la naissance de notre aîné, nous nous étions retrouvés en tête à tête comme aux premiers jours de notre rencontre.
Ruby est une jolie blonde d’un mètre soixante-huit, dotée d’une superbe poitrine et d’une jolie paire de fesses montée sur des jambes fuselées comme les courbes d’un cabriolet italien. Malgré ses deux grossesses, elle n’avait rien perdu de ces charmes qui m’avaient rendu fou lorsque je l’avais rencontrée pour la première fois.
Donc, cette année-là, pour fêter notre premier anniversaire de mariage, nous avions pris quelques jours de vacances sans les e n f a n t s, dans un hôtel-club de la riviera égyptienne. Je ne sais pas si ce fut l’effet du climat, de l’absence des gosses ou de l’envoûtant mystère de l’Égypte, toujours est-il que dès notre arrivée, ma tendre et douce, la mère nourricière de ma descendance s’est transformée en tigresse affamée.
Le soir dans la chambre, le matin au réveil, au bord de la piscine ou dans les eaux cristallines de la Mer Rouge, tous les prétextes lui étaient bons pour glisser sa main sous l’élastique de mon slip et m’encourager à venir éteindre le feu qui lui enflammait le minou. Même aux premiers temps de notre rencontre, avant la naissance de notre premier e n f a n t , je ne l’avais jamais connue aussi enthousiaste.
Un soir, alors que nous nous relaxions dans la piscine après une journée passée à plonger au milieu des bancs de poissons multicolores, Ruby a une nouvelle fois senti un irrésistible frémissement agiter sa petite chatte. Elle est venue se coller à moi pour glisser sa main dans mon maillot tout en me dévorant la bouche.
— Encore ! Décidément, tu es insatiable ces jours-ci.
— Tu ne vas quand même pas t’en plaindre, non ?
— Non, pas du tout. Ni moi ni les deux types qui prennent un verre au bar et qui ne perdent pas une miette de ton petit manège…
Ruby s’est retournée pour observer les deux hommes d’une trentaine d’années assis à quelques mètres à peine et qui ont levé leurs verres dans notre direction. Les lumières de la piscine éclairaient nos corps comme en plein jour et ils devaient voir la main de la coquine glissée sous l’élastique de mon maillot. Elle a pouffé de rire en se tournant vers moi sans lâcher mon gourdin de plus en plus vigoureux.
— C’est encore plus excitant, tu ne trouves pas ?
— Mais j’ai épousé une nymphomane, ma parole !
Elle m’a brusquement abandonné dans une gerbe d’eau bouillonnante tandis que son rire résonnait sur la terrasse. En quatre mouvements de crawl, elle est allée s’appuyer au bord de la piscine, à l’abri du regard des deux hommes. Je n’en ai pas cru mes yeux lorsqu’elle a défait le haut de son bikini avant de faire descendre le bas le long de ses jambes et finir par agiter les deux pièces du maillot au-dessus de sa tête, comme une naufragée sur une île déserte essayant d’attirer l’attention d’un navire se découpant sur l’horizon.
J’ai pris une grande bouffée d’air et j’ai plongé pour filer comme une torpille en direction de la plus excitante des grottes sous-marine. Tandis que j’approchais de ma cible, Ruby a écarté les jambes pour m’accueillir, et lorsque j’ai fini par émerger juste devant elle, mon vigoureux canoë s’est glissé sans encombre dans la caverne béante.
— Bienvenue au port, moussaillon !
— Jamais un port de plaisance n’a mieux mérité son nom !
Ses jambes enroulées autour de ma taille, ma cavalière rebondissait avec enthousiasme sur la queue de son vigoureux étalon, m’encourageant à ne pas interrompre mon galop en me murmurant de sensuels « ouiiii… encooore… » à l’oreille
— C’est le fait que ces hommes puissent nous surprendre qui te met dans un tel état ?
— C’est possible…
— Tu ne serais pas un peu exhibitionniste des fois ?
— … Je n’en sais rien… C’est la première fois que ça m’arrive.
— Il n’y a qu’à essayer, pour voir si tu l’es vraiment…
— … Qu’est-ce-que… ?
Sans lui laisser le temps de réagir, je lui ai pris le bikini des mains et je l’ai balancé par-dessus les buissons qui longeaient la partie de la piscine où nous nous trouvions.
— ?… Mais… Tu es fou ? Qu’est-ce qu’il te prend ?
— Chuuuttt…
Je l’ai embrassée fougueusement, accélérant brutalement le rythme de mes coups de queue jusqu’à ce qu’on finisse par exploser tous les deux dans d’interminables vagues de plaisir.
— Bon, maintenant on va bien voir si tu as un penchant pour l’exhibitionnisme.
— Non ! Attends ! Jacques ! Qu’est-ce-que tu fais ? Tu ne peux pas me laisser comme ça, quand même ! La moitié de l’hôtel va me voir si je sors de la piscine comme ça ! Jacques ! Reviens je te dis ! Espèce de salaud !
Je n’avais aucune intention de lui venir en aide. Depuis notre arrivée en Égypte, ma petite femme se comportait comme une excitante coquine, pour ne pas dire adorable cochonne et j’avais une furieuse envie de voir quel effet cette innocente séance de nudisme allait avoir sur son minou déjà bien surchauffé.
Si les appels désespérés de Ruby n’avaient pas réussi à me faire fléchir, ils étaient cependant parvenus à attirer l’attention des deux types du bar. Et lorsque l’un deux s’est approché pour découvrir ma pauvre épouse, nue comme au premier jour dans les eaux cristallines de la piscine, rougissant de honte et essayant de lui dissimuler ses plus précieux trésors, il a tout de suite appelé son copain pour l’inviter à le rejoindre et profiter du spectacle.
— Excusez-moi. Mon idiot de mari a cru très malin de m’abandonner dans cette tenue. Seriez-vous assez aimable pour me rendre mon bikini qui se trouve derrière les buissons là-bas ?
— Ah, vous voulez parler de celui-ci ?
— Oui ! C’est cela ! Merci ! Vous ne pouvez pas savoir combien je vous suis reconnaissante.
— Peut-être, mais… qu’est-ce-qui nous prouve qu’il est à vous, ce bikini ?
— Ne soyez pas stupide ! Vous voyez bien que je suis à poil, non ? Et je ne vois pas d’autre femme dans les environs s’affichant le cul et les seins à l’air !
— C’est bien possible, mais je crois qu’il vaut mieux qu’on aille le déposer aux objets trouvés à la réception de l’hôtel. On ne sait jamais…
— Non ! Je vous en prie ! Je ne peux quand même pas me présenter à la réception dans cette tenue.
— J’ai peut-être une idée. Si sortiez de la piscine pour l’enfiler devant nous, on pourrait s’assurer qu’il est bien à votre taille…
— Espèce de salauds ! Vous n’avez jamais vue une nana à poil ou quoi ? Ça vous fait bander, c’est cela ?
— Si vous voulez vérifier, ma p’tite dame, ne vous gênez pas. On a pu vous voir à l’œuvre avec votre mari tout à l’heure et vous aviez l’air d’avoir un joli coup de poignet. Alors, si ça vous dit… nous on serait partant, pas vrai Louis ?
Caché derrière les buissons, j’assistais à la scène, le cœur battant à cent à l’heure et la queue raide comme le glaive de la justice. Lorsque les hommes se sont approchés, j’ai failli sortir de ma cachette mais je me suis ravisé. J’avais envie de voir comment ma coquine allait s’en tirer. D’où j’étais, je savais que j’aurais amplement le temps de venir à sa rescousse si cela s’avérait nécessaire.
Lorsqu’ils lui ont proposé de venir leur tâter la tige, j’ai vu le visage de Ruby se colorer brusquement sous l’effet de la colère, de la honte mais aussi de l’excitation qu’elle commençait à ressentir, nue comme une sirène dans son aquarium illuminé, offerte aux regards de ces deux inconnus penchés sur elle. Elle était prise au piège et pour s’en sortir elle allait devoir y mettre du sien.
Alors, elle a fini par appuyer les mains sur le bord de la piscine et, dans un grand battement de jambes, elle s’est hissée d’un bond hors de l’eau. Ses seins sont apparus dans toute leur splendeur, s’élevant comme deux montgolfières ruisselantes coincées entre ses bras tendus. Puis, ça été le tour de son ventre doré, puis des boucles trempées de son minou, et moins d’une seconde plus tard, elle se tenait debout devant les deux hommes, les mains pudiquement croisées sur ses plus chers trésors.
— C’est bon ? Vous vous êtes assez rincé l’œil, là ? Rendez-moi mon bikini à présent.
— Mais bien sûr. Et pour vous montrer qu’on n’est pas des sauvages, on va même vous aider à l’enfiler, n’est-ce-pas André ?
Avant qu’elle n’ait eu le temps de réagir, l’un des types s’est agenouillé devant elle, le visage à quelques centimètres à peine de son con ruisselant, laissant courir ses mains le long de ses jambes, de ses cuisses et de ses fesses sous le prétexte de l’aider à enfiler sa petite culotte, tandis que l’autre se montrait tout aussi prévenant en lui tripotant les lolos pour veiller à ce que les bonnets de son soutien-gorge soient bien en place. En voyant les mains de ses inconnus se promener librement sur le corps dénudé de ma femme, j’ai senti ma queue se mettre à trembler et je n’ai rien pu faire pour éviter d’inonder mon maillot d’une bordée de sperme chaud.
Ruby ne leur a pas laissé le temps de finir le travail, prenant aussitôt ses jambes à son cou pour s’enfuir en direction de l’hôtel tandis qu’ils l’appelaient en riant et en quémandant un baiser en récompense à leur serviabilité. Elle était obligée de retenir son soutien-gorge dégrafé d’une main et de l’autre sa petite culotte qui ne semblait pas vouloir rester en place. Si elle s’était arrêtée, elle aurait constaté avec horreur que ces idiots l’avaient mise à l’envers et que l’étroite ficelle sensée disparaître entre ses fesses se glissait à présent entre les lèvres joufflues de son petit minou tandis que le côté pile dévoilait impudiquement la raie de son joli cul.
Je l’ai retrouvée dans notre chambre moins de cinq minutes plus tard, avalant nerveusement de grandes rasades d’un whisky-glace qu’elle s’était servi dans l’espoir de se remettre de ses émotions. Elle s’était débarrassée de son soutien mais n’avais pas pris la peine de remettre son string à l’endroit.
Lorsqu’elle m’a vu, elle m’a évidemment couvert d’un tombereau d’insultes que la décence m’empêche de répéter et que mon irrésistible fou rire n’a fait qu’intensifier. Mais il m’a suffi de la prendre dans mes bras pour étouffer dans un baiser brûlant le flot continu d’horreurs qui sortaient de sa bouche et sentir presqu’aussitôt son corps brûlant fondre sous mes caresses. À peine mes doigts s’étaient-ils glissés entre les lèvres tremblantes de sa petite chatte que de puissants jets de jouissance se mirent à couler entre ses cuisses, inondant le tapis à nos pieds.
— Eh bien dis-donc, la preuve est faite : tu es définitivement une exhibitionniste qui s’ignore ! Je ne t’avais jamais vue jouir aussi brutalement avant même t’avoir touchée.
— Arrête ! Tu vas me rendre folle avec tes jeux stupides. Je te rappelle que suis une femme mariée et la mère de tes e n f a n t s tout de même.
— Ah, elle est bien bonne, celle-là. C’est qui, qui a commencé dans la piscine tout à l‘heure ? Ce n’est pas moi qui t’ai demandé de te foutre à poil que je sache. Tiens, au fait, tu t’es regardée dans le miroir ?
Lorsqu’elle a découvert sa petite culotte en l’envers et les lèvres ruisselantes de son minou débordant de l’étroite ficelle de nylon coloré, elle a d’abord poussé un cri d’effroi accompagné d’une répétition de « Oh Mon Dieu ! » angoissés, avant d’être prise d’un irrésistible fou rire qui n’a fait qu’augmenter lorsqu’elle a découvert le côté pile de son adorable anatomie.
— Tu te rends compte que j’ai traversé le lobby de l’hôtel dans cette tenue ? Quelle honte !
— Allons, ne fais pas ta mijaurée. Je suis sûr que le personnel de l’hôtel en a vu d’autres et certainement des choses moins séduisantes que ta petite chatte et ton joli cul. Vu l’état dans lequel cela t’a mise, tu ne devrais pas hésiter à recommencer !
— Salaud ! Parce que toi, ça ne t’a pas fait de l’effet peut-être de voir ta petite femme à poil devant ces deux types ? Tu crois que je ne t’ai pas vu t’astiquer la tige caché derrière ton buisson, espèce d’immonde voyeur ?
Elle m’a poussé sur lit en riant et je me suis bien volontiers abandonné à ses assauts, la laissant arracher mon slip de bain avant de m’enfourcher comme une amazone et exiger que je la conduise au grand galop jusqu’au septième ciel.
Je ne me suis pas fait prier car après son émoustillante séance d’exhib, ma queue avait retrouvé toute sa vigueur. Tout en la faisant rebondir allègrement comme une gamine sur un manège de chevaux de bois, admirant par la même occasion le sensuel balancement de ses mamelles accompagné par les claquements de ses fesses contre mon bassin, je lui ai demandé de me décrire ce qu’elle avait ressenti durant son exhibition.
Elle avait du mal à parler sous l’intensité grandissante des spasmes qui lui traversaient le corps. Elle a fini par m’avouer qu’après un sentiment de colère à mon égard, puis d’angoisse à la vue des deux hommes penchés sur son corps dénudé, elle avait commencé à ressentir des frissons familiers lui chatouiller l’entrejambe. Et lorsqu’elle s’était hissée hors de la piscine, elle avait été soulagée de pouvoir dissimuler les liqueurs de sa jouissance sous le ruissellement de l’eau glacée coulant le long de ses cuisses.
En l’entendant avouer qu’elle avait joui rien qu’en se retrouvant nue et sans défense devant ces inconnus, j’ai fini par exploser à mon tour, inondant sa caverne du cocktail bouillonnant de notre jouissance partagée
Ce soir-là, nous avons dîné dans notre chambre et lorsque le garçon d’étage est venu nous apporter le repas, ma coquine allongée à plat ventre sur le lit, a pris un malin plaisir à lui offrir l’enivrant spectacle de ses fesses dénudées. Nous avons fait l’amour encore et encore. Et à sa demande, je l’ai prise sur la terrasse de la chambre, son corps nus brillant sous la lumière de la lune tandis que les clients de l’hôtel se promenaient quelques mètres en contrebas, ignorant le combat torride qui se déroulait juste au-dessus de leur tête.
— Et s’ils avaient voulu poursuivre leurs avances… ?
J’ai senti les muscles trempés de son con se resserrer sur ma queue en entendant ma question.
— Qu’est-ce-que tu veux dire ? Tu étais là pour les en empêcher, non ?
— Il ne s’agit pas de moi mais de toi. Qu’aurais-tu fait si leurs mains, leurs bouches ou leurs grosses queues bandant comme des ânes s’étaient montrées plus entreprenantes ?
— … Je… je ne sais pas… Peut-être que je les aurais laissé faire… en me disant que c’était probablement ce que tu attendais…
À l’idée que ma femme était prête à s’offrir sous mes yeux à un autre, à plusieurs autres en fait, j’ai senti ma queue s’agiter avant d’exploser v i o l emment au fond de sa caverne inondée. Ruby a poussé un long gémissement d’extase avant de me sourire et de se pencher pour venir me dévorer la bouche. Pour la première fois, nous avions évoqué l’éventualité d’une expérience sexuelle en dehors de notre couple et l’intensité de notre jouissance ne laissait aucun doute sur l’excitation que cette idée provoquait en nous.
Le lendemain, veille de notre départ et après une nuit pour le moins agitée, Ruby a proposé de se rendre sur une plage naturiste à quelques kilomètres de l’hôtel. Je dois avouer que je n’étais pas très chaud. Si l’idée de voir le corps dénudé de ma tendre et douce s’offrir aux regards des autres m’agitait délicieusement les grelots, la perspective de les faire tinter à la vue de tous m’enthousiasmait très modérément. Mais je n’avais pas envie de la décevoir. C’était notre dernière journée de vacances et je ne voulais pas prendre le risque d’éteindre le feu qui couvait entre ses cuisses depuis notre arrivée en Égypte.
Nous nous sommes donc rendus sur la fameuse plage fréquentée par une douzaine de couples et nous avons choisi un coin à l’écart pour nous déshabiller et laisser le dieu Râ venir nous dorer la couenne. Je n’étais pas très à l’aise mais Ruby était aux anges, à la fois fascinée par les corps dénudés qui s’affichaient sous nos yeux et excitée par les regards admiratifs qui se posaient sur le sien. Il faut dire qu’en dehors des vacanciers naturistes, d’autres promeneurs « textiles », des hommes pour la plupart, se baladaient sur la plage en contemplant sans aucune retenue les rondeurs féminines offertes à leurs regards.
Ruby s’est mise à me caresser la queue, lascivement, sensuellement, me regardant de ses yeux brillants.
— Hmmm. Qu’est-ce-qui se passe mon chéri ? Tu n’as pas l’air très en forme ce matin. Tu préférerais que je demande à un de ces messieurs s’il veut bien que je lui caresse la tige ?
Cette perspective a suffi à réveiller mon polichinelle qui s’est brusquement dressé entre les doigts de Ruby comme un diable sortant de sa boîte.
— Mais ma parole, c’est qu’il aimerait ça le cochon !
Je l’ai attirée vers moi, me glissant derrière elle en écartant ses cuisses jusqu’à ce que mon gland finisse par se diriger comme un aimant vers le pôle magnétique de son con. Elle a poussé un long gémissement en sentant ma queue coulisser dans le canal brûlant de sa petite chatte.
— Oh ouiiiii ! Prends-moi, mon bel étalon. Montre-leur comment tu traites ta belle pouliche.
— Tais-toi voyons. Je ne tiens pas à ce que toute la plage vienne assister à nos ébats.
— Non ? Je croyais que ça t’excitait pourtant. Moi en tous cas, ça m’excite de voir ces deux types là-bas qui s’astiquent le goupillon en nous regardant. Tu veux que je les invite à nous rejoindre ?
— Arrête ! Tu vas finir par me rendre dingue !
Elle a éclaté de rire en laissant échapper un long râle de plaisir tandis que ma queue lançait de longues bordées de foutre au fond de sa petite chatte. Pour la troisième fois en moins de vingt-quatre heures, la simple idée de partager ma femme avait suffi à me faire perdre tout contrôle sur les trépidations extatiques de ma pauvre queue. Et même si j’avais encore du mal à me l’avouer, il allait falloir passer à l’acte si je voulais reprendre le contrôle de ce capricieux animal.
Lorsque je lui ai proposé de rentrer à l’hôtel, Ruby s’est lovée contre moi en me faisant comprendre qu’elle serait volontiers restée un peu plus longtemps sur la plage. Mais j’en avais assez de ces types tournant autour de nous alors que je n’avais pas encore eu le temps de recharger mon arquebuse.
— Qu’est-ce qu’il t’arrive, bel étalon ? Tu refuses l’obstacle, c’est ça ?
— Tais-toi donc et rhabille-toi avant que je ne décide de t’offrir aux bons plaisirs de ces mecs.
— C’est une menace ou une promesse ?
— Cette fois, tu l’auras voulu ma petite.
Je lui ai assené une v i o l ente claque sur les fesses qui a dû résonner sur toute la plage. En tous cas, le cri strident qui s’en est suivi n’a échappé à personne. Avant que Ruby ne puisse réagir, je l’ai fait basculer par-dessus mes jambes en immobilisant ses poignets d’une main ferme et en plaçant son fessier rougissant en travers de mes cuisses, offert à mes caresses.
L’écho de mes claques résonnant sur la plage tout autant que les cris désespérés et offusqués de Ruby ont fini par attirer un petit groupe d’hommes et de femmes visiblement amusés par le spectacle que nous étions en train de leur offrir.
— Alors, tu es contente ? C’est ce que tu voulais, non ? Tu as tout un public en pâmoison devant ton joli cul. C’est dommage que tu ne puisses pas les voir parce que je peux te dire qu’ils se régalent.
— Salaud !… Aïe ! Arrête ! … Aïe ! … Je t’en prie…
— Est-ce que tu es prête à te comporter comme ma petite femme adorée et non plus comme une nymphomane en chaleur ?
— … Aïe ! … Oui … Aïe ! Je te le promets, tu es content ?
— Presque…
J’ai glissé la main entre ses fesses brûlantes jusqu’à caresser sa petite rondelle et enfoncer mes doigts entre les dentelles ruisselantes de sa petite chatte. Je me suis mis à la doigter lentement, profondément et j’ai senti son corps onduler au rythme du ballet de mes doigts, jusqu’à ce que ses râles de plaisir et ses vocalises orgasmiques se mettent à résonner sur la plage.
— Vas-y, jouis, ma belle. Offre-leur le spectacle de ton con crachant ses eaux brûlantes comme un geyser islandais.
— Ouiiii… Ouiiiii… Ouiiiiii…
Ruby a brusquement redressé son cul en écartant les cuisses tandis que des puissants jets de liqueur jaillissaient de sa petite chatte blonde. Elle a fini par s’écrouler sur mes cuisses avant que je ne la prenne dans mes bras pour l’embrasser amoureusement. Nous avions franchi une nouvelle étape dans la vie de notre couple et l’un comme l’autre savions que ce ne serait pas la dernière.
Lorsque nous sommes rentrés à l’hôtel, je crois que nous étions aussi embarrassés l’un que l’autre. Allongés nus côte à côte sur le lit king-size de notre chambre, nous réfléchissions en silence à cette aventure dans laquelle nous nous étions laissés emporter. Une semaine plus tôt, nous aurions probablement ri aux éclats si on nous avait dit que nous nous livrerions à de telles pratiques exhibitionnistes. Et pourtant, ni l’un ni l’autre ne pouvait nier le plaisir de plus en plus intense que nous avions ressenti depuis le moment où Ruby avait décidé de se dénuder dans la piscine.
— Et maintenant… on fait quoi ?
— … Je n’en sais rien… Tout ce que je sais, c’est que, quoi qu’on fasse, on le fera parce qu’on l’a voulu tous les deux, pas vrai ?
— Pour ce qui me concerne, je ferai tout ce que tu voudras.
— Pas question, mon petit père ! C’est trop facile ça ! Ce n’est pas ce que « je » veux mais ce que l’ « on » veut qui compte. Alors, qu’est-ce que tu proposes ?
— Et pourquoi est-ce moi qui dois proposer ?
— Écoute, on n’arrivera à rien comme ça. Pourquoi n’écrirait-on pas notre proposition sur un bout de papier et ensuite on compare et on en discute, qu’en dis-tu ?
Nous nous sommes mis à griffonner chacun dans notre coin en nous lançant des regards de comploteurs. J’avais beau sourire en regardant ma belle, allongée nue sur le lit et qui m’offrait le savoureux spectacle de son cul pareil à celui de l’Odalisque de Boucher, je n’étais pas vraiment à l’aise de coucher sur le papier ce fantasme qui me raidissait la queue et qui consistait à partager ma femme, la mère de nos e n f a n t s, avec d’autres hommes.
Lorsque nous avons finalement échangé nos bouts de papier, nous nous sommes mis à rire comme des gamins. Si les mots étaient différents, la proposition était la même : Ruby voulait poursuivre son aventure avec les deux types qui l’avaient surprise dans la piscine et je le souhaitais autant qu’elle.
— Je vois que cette perspective te fait déjà de l’effet, mon cochon.
J’aurais eu mauvaise grâce à le nier vu le gourdin frémissant qui se dressait entre les doigts de ma coquine. Et si l’excitation de cette dernière était plus discrète, elle n’en était pas moins réelle comme en témoignait la rivière de liqueur qui baignait mes doigts glissés entre ses cuisses.
— À cochon, cochonne et demi comme dit le proverbe.
Nous avons roulés sur le lit enlacés l’un à l’autre, nos bouches soudées et nos mains fouillant nos parties intimes, tandis que nos pensées étaient déjà absorbées par la nouvelle aventure que nous avions choisi de vivre.
Vers dix-huit heures, après une longue séance de va-et-vient suivie par une sieste réparatrice, nous sommes sortis de la chambre à la recherche de nos partenaires. Ruby avait fait le nécessaire pour que son apparition sur la terrasse de l’hôtel ne passe pas inaperçue. Elle portait une petite robe moulante rouge dévoilant les trois-quarts de ses cuisses et dont le décolleté carré offrait une vue plongeante sur ses appétissants melons. Avec ses lunettes de soleil et ses boucles blondes flottant au vent, elle avait tout d’une star hollywoodienne des années cinquante.
Je crois que nous aurions pu nous arrêter devant n’importe lequel des hommes croisés sur notre passage et Ruby n’aurait eu aucun mal à l’attirer dans ses filets. Mais notre attention était concentrée sur nos deux « amis » qui jouaient aux cartes attablés au bar de la piscine. Nous n’avions rien préparé et c’est Ruby qui a décidé de prendre l’initiative.
— Tiens Jacques, voici les deux messieurs qui m’ont « généreusement » aidée hier soir, lorsque tu m’as abandonnée dans la piscine. Je présente… ?
— André et Louis, pour vous servir, messieurs-dames.
— Vous jouez aux cartes, je vois. On peut se joindre à vous ?
— Ça dépend. À quoi voudriez-vous jouer au juste ?
À la seule pensée de la réponse qu’elle s’apprêtait à leur donner, les joues de Ruby se sont enflammées et pour échapper au regard des deux hommes, elle a tourné vers moi ses grands yeux, brillants d’angoisse autant que d’excitation. C’était à moi de prendre la main.
— Que diriez-vous si nous jouions au poker tous les trois ? Ruby sera notre enjeu et le vainqueur de chaque main pourra lui imposer un gage. Qu’en dites-vous ?
Le visage de Ruby était devenu écarlate. Le bras passé au-dessus de ses épaules, je laissais mes doigts glisser sur les collines frémissantes de ses seins, chaudes et trempées de sueur. Elle n’osait regarder les deux hommes, tournant son visage brillant dans ma direction. À mon grand soulagement, j’ai lu dans son regard que l’angoisse avait disparu. Seule restait l’excitation intense qui brillait dans ses yeux.
— Et si elle refuse son gage ?
— Elle devra accepter de recevoir une fessée du vainqueur, vingt claques, cul nu… dans notre chambre tout à l’heure.
— Dis donc ! Faut pas exagérer non plus !
Nous avons éclaté de rire tous les quatre avant d’arriver à un accord sur dix claques seulement. Puis André a commandé une tournée et nous sommes allés nous installer à une table un peu en retrait au bord de a piscine.
Je ne sais pas si Ruby ou nos complices d’un soir ont vu mes mains trembler tandis que je distribuai les cartes. L’idée que quelque minutes plus tard, j’allais offrir ma femme aux caprices de deux inconnus faisait battre mes tempes comme des tambours africains. Mais le sort a tout d’abord été clément avec moi, et j’ai reporté les deux premières mains, invitant Ruby à venir s’asseoir d’abord sur les genoux d’André, puis sur ceux de Louis pendant la durée d’une main en laissant les leurs courir sur son corps, « … mais par-dessus ses vêtements… pour le moment… »
Durant les deux mains, Ruby m’a regardé en souriant, visiblement heureuse d’exécuter ses gages qui restaient malgré tout plutôt bon e n f a n t . Lorsque Louis a gagné la main suivante, il a saisi le visage de ma petite femme, l’obligeant à plonger son regard dans le sien, et j’ai pu discerner un long frisson traversant les chairs brûlante de ma chérie.
— J’ai bien envie de me remémorer la douceur et la chaleur de vos jolis seins madame, mais je crois que Jacques a mérité qu’on lui rende la pareille. Alors, je vous propose de passer la prochaine main sur ses genoux, mais cette fois les siennes seront libres de se promener à leur guise sur les parties les plus intimes de votre anatomie.
Un large sourire dessiné sur les lèvres, Ruby est venue s’asseoir sur mes genoux. J’ai écarté ma chaise de la table, la tournant légèrement de côté afin que ses cuisses largement dénudées se retrouvent face à nos deux partenaires, et, après avoir demandé à Louis de donner à ma place, j’ai dévoré la bouche de ma douce et tendre tout en glissant une main sous sa robe. Je n’ai pas dû insister pour qu’elle écarte les jambes pour leur offrir le spectacle de ses chairs pâles et de sa petite culotte noire sous laquelle disparaissaient mes doigts.
Il est clair qu’aucun de nous ne portait une grande attention à la partie. Moi, en raison de l’excitation qui me traversait la queue tandis mes doigts se trempaient dans la rivière de plaisir ruisselant de la petite chatte de Ruby ; cette dernière, pour la raison que je viens d’évoquer ; et nos deux complices, en raison du spectacle que nous leurs offrions. Mais les meilleures choses ont une fin et j’ai fini par remporter cette quatrième main, par chance plus que par talent.
— Bon, je crois que cette petite culotte est bien trop trempée et que tu risques d’attr a p e r froid en la gardant plus longtemps. Pour ton gage, j’aimerais que tu demandes à Louis de te l’enlever.
Ruby s’est levée presqu’à regret de mes genoux, non sans m’offrir auparavant un long baiser brûlant de passion. Puis, elle est venue se placer debout au côté de notre nouvel ami qui a laissé ses mains glisser le long de ses cuisses humides et frémissantes. Lorsqu’elles ont disparu sous la robe entraînant celle-ci dans leur sensuelle ascension, Ruby m’a regardée pour me faire partager l’excitation brûlante qui brillait au fond de ses yeux.
Après de longues secondes durant lesquelles les mains de Louis ont fouillé l’entrejambe de ma moitié, le string noir a fait son apparition le long des cuisses de Ruby avant de glisser jusqu’à ses pieds. Louis l’a ramassé pour s’enivrer des arômes marins qui lui envahissaient les narines, puis il l’a passé à André qui en a fait autant.
— De tous les animaux fabuleux qui peuplent la mer Rouge, je suis sûr qu’il n’y en a aucun de plus appétissant que celui qui se cachait dans ce joli filet de dentelle. Qu’en dis-tu, Jacques ?
— Tout ce que je peux vous dire c’est qu’il n’a pas cessé de pleurer de plaisir depuis votre rencontre d’hier au bord de la piscine. Pas vrai, ma chérie ?
Ruby a rougi en venant se rasseoir à mes côté. Le fait d’évoquer aussi ouvertement la jouissance intense qui lui enflammait les chairs depuis la veille semblait la gêner davantage que le fait de la partager avec nous.
— Allons ne fait pas ta timide. Louis et André ont bien vu que tu n’étais qu’une petite cochonne en chaleur. Vous savez qu’après cinq ans de vie commune, c’est la première fois que cette coquine me révèle ce côté secret de sa personnalité, n’est-ce pas mon amour ?
— … Oui… Mais je pensais que vous étiez sensés jouer aux cartes et pas discuter de notre vie privée.
— Tu as raison. Je crois que c’est à André de donner les cartes. Pendant ce temps, je vais aller nous commander une nouvelle tournée au bar. Même chose pour tout le monde ?
Nous avons repris la partie après avoir porté un toast à notre soirée. Ruby avait commandé un cocktail dénommé « Sex on the beach » ce qui n’a pas manqué de susciter quelques plaisanteries qui ont une nouvelle fois coloré les joues de ma belle.
André a gagné la main et il a estimé que son tour était venu de visiter l’entrejambe de Ruby. Il l’a accueillie sur ses genoux et durant toute la main, la sienne a disparu sous le robe de ma femme qui n’a pas tardé à gémir de moins en moins discrètement, au point que son partenaire a été obligé d’étouffer ses râles de jouissance dans un long baiser.
Lorsque la main s’est terminée sur la victoire de Louis et que Ruby s’est levée tremblante, les joues en feu et le corps trempé de sueur, une large auréole sombre se dessinait sur l’arrière de sa robe et sur la cuisse d’André.
— J’ai l’impression que notre délicieuse Ruby a besoin de se rafraîchir. Que dirais-tu d’une rafraîchissante plongée dans la piscine dans même tenue qu’hier ?
Malgré l’obscurité qui régnait sur la terrasse illuminée par quelques discrets réverbères, il y avait encore pas mal de monde attablé autour de la grande piscine vide à l’exception de deux couples assis au bar, le corps à moitié immergé dans l’eau cristalline. Notre table était un peu à l’écart et une quinzaine de mètres nous séparaient de la piscine. Ruby m’a regardé de ses yeux brillants dans lesquels je pouvais lire les sentiments d’angoisse et d’excitation qui lui traversaient le corps. Si elle se dénudait à notre table, elle n’allait pas pouvoir échapper aux regards des clients assis aux tables voisines, et ses innocentes exhibitions de la veille et de ce matin n’avaient pas grand-chose à voir avec la perspective de courir à poil entre les tables pour aller se jeter à l’eau en leur offrant le voluptueux spectacle de son corps dénudé.
Personnellement, cette perspective ne m’enchantait pas davantage. Alors je me suis levé, j’ai pris une serviette de bain qui traînait sur un transat et je la lui ai tendue. Elle m’a retourné un adorable sourire reconnaissant en s’enveloppant dans la serviette avant de faire descendre discrètement sa robe le long de ses jambes.
Vêtue de sa serviette sensuellement nouée au-dessus de ses seins et descendant juste sous les fesses, Ruby s’est dirigée vers la piscine en ondulant lascivement son admirable croupion. Elle a cherché un coin discret, éloigné des tables, et elle s’est assise sur le bord en nous tournant le dos. Puis, après nous avoir lancé un regard complice, elle a laissé glisser la serviette le long de son dos tandis qu’elle disparaissait dans les eaux illuminées de la piscine.
Je dois dire qu’elle a joué le jeu, nageant ouvertement dans les eaux cristallines en nous laissant apercevoir les affolantes rondeurs de ses fesses. Elle était assez éloignée pour passer inaperçue sauf pour nous qui la regardions fascinés. N’y résistant plus, j’ai fini par me lever, aussitôt suivi de nos deux partenaires. Le spectacle était vraiment extraordinaire, presque surréaliste. Le voile transparent de l’eau puissamment illuminée par une batterie de spots déformait ses formes comme dans un tableau de David Hockney. Elle prenait un malin plaisir à nous offrir le spectacle de son corps dénudé plongeant lentement en dressant ses fesses hors de l’eau l’espace d’un instant, nageant sur le dos les bras serrés autour de ses seins pour les dresser comme des phares, ouvrant et refermant ses jambes dans un battement régulier pour nous offrir la vision de son délicieux coquillage baillant de plaisir.
Mais trois hommes debout au bord d’une piscine, observant avec attention le corps d’une sirène batifolant dans la piscine, ne passent pas vraiment inaperçus. Et au bout de quelques minutes la piscine s’est mise à bruisser des commentaires et des exclamations enthousiastes des tables les plus proches. Ruby ne s’en est rendu compte que lorsque deux hommes se sont approchés du bord en face de nous en riant et en commentant bruyamment le magnifique spectacle qui s’offrait à eux. Elle a d’abord poussé un « Oh ! » de surprise avant de piquer un crawl olympique en notre direction.
Elle s’est accrochée au bord de la piscine, collant littéralement son corps contre le mur une main posée sur ses fesses pour les dissimuler aux regards des deux hommes dont les appels bruyants avaient attiré d’autres clients curieux et visiblement amusés par le spectacle. Ruby nous regardait de ses yeux suppliants tandis que nous la regardions en riant comme le reste des spectateurs.
— Je crois que ma petite chérie a rempli son contrat, qu’en dites-vous mes amis ? Prêts à poursuivre notre petite partie ?
J’ai saisi la serviette l’ouvrant entre mes bras largement écartés tandis que Louis et André se penchaient pour saisir les mains de Ruby et la hisser hors de l’eau comme le plus appétissant des poissons. Elle aurait sans doute aimé qu’ils y mettent un peu plus d’enthousiasme mais ils ont pris leur temps pour dévoiler peu à peu son corps ruisselant jusqu’à la tenir au bout de leur bras dressé tandis qu’elle agitait comiquement les jambes pour qu’ils la posent enfin à terre. À peine ne l’avaient-ils fait qu’elle s’est précipitée dans la serviette pour que je la serre dans mes bras et que je partage avec elle un baiser brûlant d’amour et de passion.
Nous avons rejoint notre table, mais après le show que Ruby leur avait offert, les autres clients gardaient leurs yeux fixés sur nous et il devenait difficile de jouer comme nous l’aurions aimé.
— Chérie, que dirais-tu d’inviter nos amis dans notre chambre pour poursuivre la partie ? Nous y serons plus tranquilles, tu ne crois pas ?
J’ai vu le trouble brouiller un instant son regard. Ma proposition était parfaitement raisonnable et même si nous ne l’avions jamais ouvertement abordé, la perspective de finir cette aventure dans notre chambre était prévisible. Malgré son enthousiasme quelques heures plus tôt dans cette même chambre, Ruby semblait soudain réaliser ce que cela signifiait. Je l’ai serrée dans mes bras, l’embrassant amoureusement tout en lui murmurant qu’elle pouvait choisir de mettre fin à notre petit délire. Et les frissons qui se sont mis à traverser ses chairs brûlantes ne m’ont laissé aucun doute sur son choix.
— Oui, tu as raison. On y va ?
— Qu’en dites-vous les amis ?
— D’accord. Mais j’aimerais clarifier un point du règlement si vous me le permettez. Si Ruby refuse un gage, elle a droit à dix claques sur son joli derrière, n’est-ce pas ? Donc, si nous continuions à jouer ici et qu’elle refusait de satisfaire à nos désirs, elle devrait accepter sa punition…
Nous avons regardé Jacques d’un air interrogateur pendant quelques secondes avant d’éclater de rire tandis que Ruby continuait à nous regarder sans comprendre.
— Qu’en dis-tu ma chérie ? Es-tu prête à nous laisser t’échauffer les fesses pour ne pas avoir à t’exhiber sur la terrasse.
— Vous faites une belle bande de salopards tous les trois, mais il me semble que je n’ai pas vraiment le choix…
Elle nous a souri avant de nous précéder sur le chemin du lobby, sa robe par-dessus son épaule, le corps délicieusement enveloppé dans sa serviette blanche, balançant lascivement ce joli cul que nous nous apprêtions à échauffer en guise d’apéritif.
Dans l’ascenseur vitré qui nous menait vers le troisième étage, je n’ai pas pu résister au plaisir de glisser la main sous le nœud de la serviette qui s’est défait comme par magie, laissant ma délicieuse épouse nue au milieu de trois hommes brûlant d’impatience de la posséder.
Lorsque l’ascenseur est arrivé à notre étage, les portes se sont ouvertes sur un couple de septuagénaires pour le moins surpris par le tableau qui s’offrait à eux. Trois hommes dont les mains et les bouches couraient sur le corps d’une femme entièrement nue, qui essayait en riant d’échapper à leurs caresses. « Oh ! » Pour la deuxième fois, Ruby se retrouvait dans une situation pour le moins scabreuse devant de parfaits inconnus qui de surcroît avaient l’âge de ses grands-parents. Elle s’est penchée pour se couvrir de la serviette avant de s’enfuir dans le couloir en nous laissant admirer ses jolies fesses.
— Bonne soirée messieurs… Et si vous avez besoin d’un coup de main…
— Robert ! Voyons ! Ces messieurs n’ont aucun besoin de ton aide, c’est plutôt moi qui aurait besoin de la leur.
Nous avons tous éclaté de rire avant de prendre congé et rejoindre Ruby qui, les joues en feu, nous attendait devant la porte de notre chambre. Au même moment, le garçon d’étage arrivait de l’autre côté du couloir avec la bouteille de champagne que je nous avais commandée et une nouvelle fois je n’ai pas pu m’empêcher de dénouer la serviette, indifférent aux imprécations que me lançait Ruby en s’enfuyant nue dans la chambre pour se précipiter dans la salle de bain. Le garçon d’étage m’a adressé un grand sourire et un clin d’œil complice en quittant la pièce tandis que la musique de la douche résonnait dans la chambre.
Dix minutes plus tard, Ruby a refait son apparition dans la chambre, vêtue d’un peignoir de bain et d’une serviette nouée autour de la tête. Elle était magnifique et nous ne nous sommes pas privés de le lui dire pour son évident plaisir. Nous avons une nouvelle fois trinqué, tandis que Ruby venait se lover dans nos bras, passant de l’un à l’autre, nous offrant durant de brèves secondes sa bouche et son corps brûlant.
— Bon. Vous n’aviez pas une partie à terminer ?
— Tu as raison ma chérie. Mais avant…
Je l’ai saisie par la main pour l’entraîner vers le lit où je me suis assis en l’invitant à s’allonger en travers de mes cuisses. Elle m’a regardée en souriant, les yeux brillants d’excitation. Nous avions souvent pratiqué la fessée amoureuse avant la naissance de nos e n f a n t s et Ruby y prenait toujours beaucoup de plaisir. Mais cela faisait bien longtemps que nous ne nous y étions plus adonnés et ce soir, pour la seconde fois de la journée, elle allait la recevoir de son mari mais aussi de ces deux hommes qu’elle connaissait à peine.
Elle a assumé la position et après avoir relevé la sortie de bain pour dévoiler son éblouissant derrière, j’ai rappelé les règles
— Dix claques chacun, à tour de rôle, et je voudrais que tu les comptes pour nous ? D’accord ?
— Oui… Aïe ! Une…
Elle a égrainé les claques sonores comme convenu, se mordant les lèvres pour retenir ses gémissements de douleur et de plaisir. J’ai pris mon temps en laissant passer de longues secondes entre les impacts brûlant de main, secondes que j’utilisais pour lui caresser le cul, descendant toujours plus profondément au cœur de son volcan.
Lorsque la dixième claque a résonné dans la chambre, le cul de Ruby avait pris une jolie teinte rosée. Elle s’est relevée en se caressant les fesses et je me suis levé à mon tour pour céder ma place à André après avoir tendrement embrassé mon adorable épouse.
Il a repris le travail d’une main à la fois ferme et respectueuse du magnifique spécimen offert à ses assauts et tandis que le cul de Ruby rougissait toujours davantage, ses gémissements se faisaient de plus en plus sonores. Pour la deuxième fois de la soirée, André s’est retrouvé avec le pantalon trempé et Ruby a eu du mal à se redresser sur ses jambes tremblantes pour permettre à Louis de prendre sa place.
Mais celui-ci avait une autre idée en tête. Il a glissé son bras musclé autour de la taille de Ruby, la faisant basculer vers l’avant de manière à ce que son derrière rougissant se dresse devant nous, tandis qu’elle agitait nerveusement ses jambes en poussant des imprécations offusquées.
— Mais… qu’est-ce-que vous faites… vous êtes fou ? Reposez-moi à terre !
— Je crois que l’air frais t’aidera à mieux supporter ta dernière séance. Et puis, je suis sûr que le doux frisson de l’exhib doit te manquer, pas vrai ma jolie cochonne ?
Son délicieux colis sous le bras, Louis s’est dirigé vers le balcon. Il s’est approché du muret la tenant le cul à l’air, assez haut pour que les deux sphères rougissantes brillant sous la lumière de la lune apparaissent à la vue de tous ceux qui auraient eu la bonne idée de lever les yeux.
Et lorsque les claques de Louis se sont mises à résonner dans la nuit, égrainées par le décompte de Ruby, le bruit des rires et des encouragements enthousiastes ont commencé à fuser de la terrasse en contrebas où les clients le nez en l’air contemplaient les fesses brillantes de ma petite femme.
— … Dix !…
Je crois que Louis aurait pu continuer et que Ruby n’y aurait rien trouvé à redire. Le fruit de ses orgasmes coulait le long de ses cuisses et formait une petite flaque brillante aux pieds de Louis. Ce n’est que lorsque les « We want more… We want more !… » sont remontés de la terrasse qu’elle a repris conscience de l’indécent spectacle qu’elle venait d’offrir à ces inconnus. D’un bond, elle a échappé à l’étreinte de Louis pour se précipiter dans la chambre et reprendre ses esprits dans le confortable nid de notre lit.
Je nous ai versé un verre de champagne et nous avons trinqué en riant au récit de nos récentes aventures. Puis, dix minutes plus tard, nous étions tous les trois assis dans les fauteuils du petit salon tandis que Ruby se prélassait sur le lit en nous regardant, visiblement impatiente de se soumettre à son prochain gage. C’est moi qui ai remporté la main et lorsque nos yeux se sont croisés un frisson partagé nous a parcouru le corps
— Je veux que tu retires ta sortie bain et que tu te caresses devant nous pendant la prochaine main.
Ce n’était visiblement pas ce à quoi elle s’attendait, mais elle était bien trop excitée pour s’en préoccuper. Alors, elle s’est agenouillée sur le lit, faisant glisser la sortie de bain sur ses épaules avant de se mettre à caresser son enivrante poitrine, jouant avec ses tétons en se mordant les lèvres et en nous fixant de ses yeux brillants d’excitation. Puis ses mains ont glissé sur son ventre et entre ses cuisses entrouvertes puis disparaître au cœur de son chaudron brûlant. Les yeux fermés, elle s´est laissée emporter par les vagues de plaisir qui lui traversaient le corps.
— … mmm… si vous voulez que je… ahhh… continue… vous allez devoir… mmm… reprendre votre… partie, messieurs…
Cela faisait effectivement de longues minutes que nous la contemplions sans intention de nous laisser distraire par les cartes, mais elle avait raison, son gage ne devait durer que le temps de notre main. Alors, j’ai pris les cartes pour les poser sur le lit bien assez grand pour nous accueillir tous les quatre et nous avons repris la partie, entre les jambes largement de Ruby, allongée nue au centre du lit, les doigts profondément enfoncés dans sa petite chatte pleurant de plaisir. Aucun d’entre nous n’a porté un grand intérêt à la partie, fascinés que nous étions par le spectacle de ce corps brûlant de désir et jouissant sous nos yeux. Elle était prête, plus que prête, nous invitant du regard, nous faisant partager ses liqueurs en glissant longuement ses doigts trempés dans nos bouches assoiffées. Et lorsque j’ai une nouvelle fois remporté la main, j’ai su ce qu’il me restait à faire.
— Ton gage, ma princesse, sera de t’offrir au bon plaisir de nos amis. Je veux qu’ils jouissent de ton corps et que tu jouisses avec eux tandis que je vous regarderai.
Tandis qu’André et Louis se déshabillaient, Ruby m’a rejoint pour lover son corps brûlant contre le mien et m’offrir le baiser le plus brûlant qu’elle ne m’ait jamais offert avant de murmurer un « je t’aime » à mon oreille. Puis elle retournée s’allonger sur le lit pour s’abandonner aux caresses de ses deux partenaires.
Je me suis assis sur une chaise placée au pied du lit et pour la première fois de ma vie, j’ai assisté au spectacle torride d’une femme jouissant sous les assauts de deux partenaires enthousiastes. Que cette femme fut la mienne, la mère de nos e n f a n t s, rendait l’expérience encore plus incroyable.
Ils ont commencé par la couvrir de baiser, jouant avec ses chairs frémissantes offertes à leurs caresses. Puis Louis est descendu entre ses cuisses tandis qu’André venait s’agenouiller à côté de son visage pour le caresser de sa queue dressée, faisant glisser son gland entre les lèvres entrouvertes de Ruby, jouant avec elle et son envie de l’avaler dans sa bouche gourmande.
Le spectacle de ma femme dévorant avec enthousiasme la queue de cet homme qu’elle avait rencontré vingt-quatre heures plus tôt était tout simplement incroyable, mais il n’était rien face à celui de Louis en train de butiner sa fleur brillante et frémissante.
Elle s’offrait à moi dans toute sa splendeur et je pouvais en sentir les arômes familiers tandis que les doigts de Louis écartaient ses dentelles roses pour permettre à sa langue de se glisser dans la crevasse béante.
Ils ont échangés leurs places mais lorsqu’André s’est glissé entre les cuisses de Ruby ce n’est pas sa langue qui est venu la visiter. Elle a poussé un long gémissement étouffé par le gourdin que Louis a glissé entre ses lèvres lorsque la queue d’André, prudemment habillée de latex, s’est enfoncée dans sa petite chatte brûlante comme l’acier en fusion. Il faut dire que tout comme son ami, il était plutôt bien membré et je n’ai pu m’empêcher de penser que nous avions eu beaucoup de chance de les choisir pour partenaires de notre première expérience de partage.
Ruby était au paradis. Les jambes maintenues presqu’à la verticale par son partenaire qui lui saisissait les chevilles comme un skieur ses bâtons, elle râlait de plaisir sous le va-et-vient du piston qui lui traversait la chatte accompagné d’un claquement sonore chaque fois que le ventre d’André venait s’écraser sur ses fesses. Je me suis mis sur le côté pour observer l’épais gourdin aller et venir dans cette petite chatte qui jusqu’à ce soir n’avait appartenu qu’à moi.
Lorsque Louis a libéré sa bouche, André est venu elle, l’embrassant avec gourmandise. Puis il a roulé sur le lit, entraînant Ruby avec lui sans jamais desserrer son étreinte ni extraire son puissant gourdin du fourreau trempé de son con.
Pour mon plus grand plaisir, autant que pour le sien, ma chérie s’est mise à chevaucher son étalon, agitant juste sous mon nez ses fesses rougissantes et bondissant avec l’enthousiasme d’une cavalière de jumping sur la queue de son partenaire. Lorsque Louis est venu se placer à mes côtés pour tremper ses doigts dans la rivière de liqueur qui s’écoulait de la chatte de Ruby et pour ensuite les promener sur la rondelle timide de son petit trou, j’ai compris ce que les deux hommes s’apprêtaient à faire.
Ruby aussi d’ailleurs qui entre deux râles d’extase, a laissé échapper un « Nooonnn… » rapidement étouffé par un baiser de Jacques sur ses lèvres entrouvertes. La sodomie est une pratique qu’elle n’appréciait que très modérément, pour ne pas dire pas du tout. Et les rares fois où elle avait consenti à m’ouvrir la porte de son petit trou, j’avais dû déployer des ruses de sioux.
Mais ce soir-là, elle n’avait pas vraiment eu le choix. Et lorsque la gland de Louis a f o r c é l’entrée de son petit paradis, que sa queue s’est glissée tout entière dans l’étroit conduit de ses entrailles, coulissant le long de celle de son ami profondément enchâssée dans son con, ma tendre et douce a laissé échapper un long gémissement de plaisir.
Coincé entre ceux de ses deux partenaires, le corps de Ruby ne lui appartenait plus, emporté par les irrésistibles vagues de jouissance provoquées par le va-et-vient de ces deux queues qui lui traversaient le cul et le con. Il ne me restait que sa bouche d’où s’échappait une longue mélopée de râles, de gémissements et d’exclamations extatiques. Et lorsque j’en ai approché ma queue, ses lèvres voraces l’ont engloutie en une fraction de seconde comme une murène dévorant une imprudente anguille.
J’ai dû faire appel à toute mon énergie, penser à mon ignoble directeur et aux fesses rabougries de sa femme, pour parvenir à contrôler les trépidations de ma machine comme dirait B.B. Mais lorsque nos deux amis se sont retirés presqu’au même moment, et qu’après s’être débarrassés de leur préservatif, ils sont venus secouer leur tuyau d’arrosage au-dessus du visage et du torse de ma bien-aimée, j’ai compris que notre soirée arrivait à sa fin. Nous avons explosé tous les trois à quelques secondes d’intervalle, maculant sa peau brillante, inondant sa bouche, ses joues ses seins des gerbes de semence jaillissant de nos queues tremblantes de plaisir.
C’était fini. Et tandis que nos amis se rhabillaient et que Ruby dégustait avec gourmandise le fruit de notre jouissance, je me suis glissé aux côtés de ma belle pour la serrer dans mes bras et partager avec elle les saveurs parfumées du plaisir.
Cette nuit-là nous avons fait l’amour, revivant encore et encore nos aventures des deux derniers jours et lorsque nous nous sommes endormis les premières lueurs de l’aube filtraient à travers les rideaux de la chambre.
À quinze heures le lendemain, nous étions dans l’avion qui nous ramenait en France. Nous n’avons plus jamais eu de nouvelles d’André ou de Louis et c’était bien ainsi que nous l’avions voulu. Et pourtant, cette première expérience allait être le début d’une nouvelle période dans la vie de notre couple. Mais ça, c’est une autre histoire que je vous raconterai peut-être une autre fois.
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